On the road, bitches !

- Non, mon gars, on va chercher un mec vivant, ce sera déjà vachement bien.

Vous trois commencez à avancer sur le carrefour.


Votre visibilité est limitée par la nuit, mais vous ne décelez aucun ennemi pour le moment, tant mieux.
Votre destination actuelle est la rue nord, puis vers l'est au carrefour suivant.
Les gars commencent à avancer.
Tu ne vois aucune cabine téléphonique, mais plusieurs maisons de la rue sud ont des portes ouvertes et le SacréCoeur a l'étage allumé (tu peux le voir depuis ta position actuelle)

Spoiler:

La réponse obtenue ne pouvait pas satisfaire Kévin. Mais celui-ci se contenta de lâcher un grommellement imperceptible. La nuit donnait une ambiance surréaliste aux rues de Montmartre. Les ombres inquiétantes s'étiraient au sol et l'absence de danger visible rendait le tout encore plus stressant.

Le jeune homme agrippa sa barre de fer comme une batte de baseball et suivit ses acolytes à pas de loup, n'hésitant pas à pivoter sur lui-même pour observer tous les recoins où une bête monstrueuse aurait pu se tapir pour lui bondir dessus. Il fut notamment vigilant aux portes des immeubles restées ouvertes et à la rue qui partait à l'est. De ce côté-ci, trois voitures cachaient la visibilité et dieu seul savait ce qui pouvait se trouver derrière...

Kévin avançait ainsi, sans un bruit, sans un mot. Il espérait que Boris et Vincent savaient ce qu'ils faisaient...

Kévin, ce gros mouleux, évite à tout le groupe une rencontre infortune.


- Okay, au carrefour à droite a dit le patron. C'est calme ici, ce soir, j'aime pas ça. Mais je vais pas m'en plaindre.
- Alors, sinon, le bleu... T'as pas l'air d'un costaud. Pourquoi tu tenais tant à sortir dans les rues ?

Tu aperçois la forme d'une cabine téléphonique dans l'ombre de la rue nord-ouest, et vous percevez du bruit de mouvement léger, sans pouvoir dire d'où ça vient.

Fort heureusement, la rue sur la droite ne semblait pas présenter d'individus mal intentionnés. Mais la route était encore longue... et du fait de leur prudence, la progression était lente. Kévin, toujours caché derrière ses deux amis, se tapissait dans leur ombre.

- Quoi tu dis quoi ? J'ai pas l'air d'un costaud ? Hey ! Té-ma les bras de ouf !

Oubliant alors toute peur, Kévin ne tint sa barre de fer que de la main gauche et retroussa la manche droite de son t-shirt. Il contracta alors son biceps dans un geste digne d'un culturiste. En effet, le bras n'était pas ridicule mais un œil averti n'y aurait vu que de la gonflette.

Du coin de l'œil, le people put apercevoir la cabine téléphonique. Mais son cerveau lent ignora cette information car il n'avait jamais utilisé un tel engin. Pour dire la vérité, il n'avait jamais remarqué leur existence et n'aurait pas pu deviner qu'un aussi gros truc puisse remplacer (en partie) son Iphone 5. Du coup, il continua de suivre sagement ses camarades... lorsqu'un bruit inquiétant se fit entendre.

Kévin serra la barre de fer à s'en faire blanchir les phalanges.

- Roooh fuck... Gépapeurgépapeurgépapeurgépapeurgépapeurgépapeur...

Malgré une panique évidente, le jeune homme chercha du regard la provenance du bruit, notamment en direction des nombreuses voitures qui encombraient la rue de droite.

Vous avez avancé jusqu'au milieu du carrefour suivant, et une silhouette sort du bloc de voitures coté est.


- GRAAAAAAAAAAAAH !

Ni une, ni deux, Vince et Barry dégainent et tirent. Pas fous, les mecs.
Sur trois tirs de chacun, le clochard zombie se mange deux balles. Une lui traverse la gorge, l'autre s'écrase dans sa poitrine.
Il reste debout et se met à courir dans votre direction.

Bien sûr, le bruit des détonations réveille des vocations et, venant des routes nord et ouest, deux zombies arrivent, les deux déjà salement amochés.

Autant dire les choses clairement, le boiteux sanguinolent était le premier du genre que Kévin apercevait. Et cette vision ne l'enchanta pas vraiment... Le garçon sentit son cœur s'arrêter. Bon sang, mais c'était dingue ! Un vrai mort-vivant, comme dans les films de peur... Du coup, il s'immobilisa tel une statue, ne sachant quoi faire, sans même réussir à réfléchir. Enfin, encore moins que d'habitude.

Dire que Kévin était presque rassuré d'être tombé sur des as de la gachette... Sauf que ces gros malins avaient la gachette un peu facile, justement... Et même le jeune homme comprit que le son des détonations allaient attirer les copains de Mister Graaaaaaaaah.

D'ailleurs, celui-ci arrivait d'un pas rapide dans leur direction. Le jeune people se mit à gueuler, reprenant petit à petit contrôle de son corps.

- Bwaaaaaaaaah ! Bordel ! On fait quoi ?

Il se mit à reculer, d'un air affolé, ne sachant que faire. De toutes façons, tant que le zombie n'était pas à portée de barre de fer, il ne pouvait rien faire. À part fuir. Kévin se mit à envisager sérieusement cette idée, lorsqu'il aperçut deux autres zombies... Le jeune homme ne bougea plus et attendit la suite des événements.

Vince se concentra sur le clochard, alors que Barry recula pour tirer sur les nouveaux venus.
Le clochard se déplaçait vite pour un zombie, en plus.
Pointé sur l'ennemi bizarre, Vince tira sur lui et ses balles touchèrent. Une lui perfora une nouvelle fois la poitrine et l'autre s'écrasa contre son bras gauche.
Le zombie courrait vers lui et se prit les deux balles sans rechigner, arrivant jusqu'au corps à corps de Vince, à qui il planté sa main droite dans le ventre.
Le sang commença à couler doucement et on sentait que le clochard, même si il fatiguait, comptait bien faire de Vince son repas.

- Putain, le bâtard...

Barry avait reculé pour protéger Kévin.
Il tua chacun des deux zombies d'une balle dans le crâne. Chacun des deux tomba à terre sans un bruit.

Les coups de feu ameutèrent encore deux zombies, plus frais que les précédents, venant tous deux de la rue Ouest.

Si, quelques minutes auparavant, on avait dit à Kévin ce qui allait advenir du salopard qui l'avait menacé avec un flingue, il se serait certainement frotté les mains... Mais dans le feu de l'action, le jeune homme oublia toute rancoeur envers Vince. Encore mieux, pris d'un élan insoupçonné de bravoure, il se mit à courir en direction du clochard et en braillant ! Visiblement il ne contrôlait plus rien...

- Bwaaaaaaaaaaaaah ! Fils de ta raaaaaaaaaaace !

Et Bam ! Il envoya un coup de barre de fer dans le front du zombie, de toutes ses forces. Il profita que celui-ci était occupé à fouiller dans les entrailles de son camarade pour tenter de lui briser le crâne. Il fallait espérer que, dans toute cette excitation soudaine, Kévin ne se trompe pas d'individu et n'achève pas trop tôt le pauvre Vince...

Fort de sa bravoure insoupçonnée, Kévin frappa le premier. Le clochard attrapa la barre de sa main disponible, et tira un grand coup, désarmant le jeune homme.
Il lâcha la barre et planta ses griffes dans le ventre de Vince.
Le pauvre Vince cracha du sang et sortit son flingue. Il le posa sur la tempe de son ennemi et tira.
La balle transperça le crâne du zombie, qui s'écroula en se contractant, emportant avec lui le garde en le tirant par le ventre.

Le garde se retourna sur le dos, le ventre ouvert et saignant abondamment. A moins d'un excellent chirurgien, il ne passerait sans doute pas la nuit.
De son coté, Barry, tout en se rapprochant de son coéquipier, tira sur un des deux zombies juste arrivé. Il le toucha à la tête, le tuant sur le coup, mais l'autre s'avançait encore.

La tentative courageuse de Kévin se solda par un lamentable échec. Le clochard, plus alerte qu'il ne le laissait croire, avait réussi à lui enlever sa barre de fer. Heureusement pour le jeune homme, le zombie préférait creuser dans le ventre de Vince plutôt que de s'intéresser à son agresseur. Mais le temps qu'il perdit à se saisir de la barre lui fut fatal. Le garde, toujours vivant, l'acheva d'une balle dans la tempe. Les deux corps s'écroulèrent.

Kévin fit un pas en arrière, observant l'étrange tableau avec détachement. Vince agonisait mais la brutalité de la scène était trop énorme pour que la vedette esquisse un geste. De son côté, Barry refroidissait un nouvel ennemi. Mais un dernier survivait... Kévin ramassa rapidement sa barre de fer et profita d'être penché pour se demander son flingue à Vince, sans oser le regarder dans les yeux.

- Donne moi ça ! Vite !

Vince crachait du sang et Barry venait d'abattre le second zombie.

Un nouveau zombie arrivait de la voie nord et les deux gardes regardaient, surpris, la vedette faire son show.
Vince n'était pas stupide et savait qu'il allait mourir. Il tendit son flingue à Kévin en marmonnant un "'Tu feras gafffe à toi, mec. Jjjoue pas au c-c-couillon, ok ?"

Barry posa un genou à coté de son ami et Vince lui murmura quelque chose à l'oreille.
Barry se releva, salua Vince et lui tira une balle dans la tête.


La voie Est semblait dégagée pour l'instant. Il faudrait sans doute en profiter.

Quand Barry acheva Vince d'une balle dans la tête, Kévin ne put réprimer un sursaut d'effroi. Le surréalisme et l'horreur de la situation lui retournèrent la cervelle et il perdit l'équilibre pendant une seconde ou deux, lâchant l'arme qu'on lui avait confiée.

Puis, après avoir fermé un peu les yeux, il posa un genou à terre, prit une grande inspiration et se saisit à nouveau du pistolet. Il n'y parvint qu'avec difficulté. Sa main tremblait fortement au toucher de cet engin de mort. Néanmoins, Kévin avait vu à quelle vitesse l'arme avait éliminé un ennemi pourtant redoutable. Et il avait également compris qu'il en aurait forcément besoin... comme il aurait besoin de sa barre de fer qu'il tenait désormais de la main gauche. Il tâcha de contenir sa peur et de réduire ses tremblements.

- Et qu'est-ce qu'on fait maintenant ?

Ce qu'il sous-entendait était clair : Kévin se demandait si ça valait encore le coup de continuer ou s'il valait mieux rentrer à leur point de départ. La rue dégagée à l'Est offrait aussi un visage rassurant et Kévin y suivrait son acolyte sans protester, s'il le fallait.

- Si on finit pas cette mission maintenant, les zeds vont revenir et Vince sera mort pour rien. Alors on se magne et on espère que le boucan fera pas rappliquer d'autres connards

Il t'emboite le pas sur la ruelle est.

Citation :

Kévin débloque l'achèvement "Alors c'est ça un clochard ?"
- Survivre à un affrontement contre un zombie Clochard
- 2xp

Citation :

Kévin débloque l'achèvement "Requiescat in pace"
- Voir un allié mourir
- 3xp

[Tu gagnes donc un niveau et un point à distribuer]

Spoiler:

Barry, lui, ne perdit pas son sang-froid. Et son autorité était ce qu'il fallait pour que Kévin se ressaisisse suffisamment pour continuer la route. Ils iraient jusqu'au bout. Peut-être.

Les deux hommes s'engagèrent dans la longue rue qui partait vers l'Est, abandonnant la dépouille mutilée de Vince. Un glissement se faisait entendre derrière eux et Kévin aperçut un autre zombie qui s'approchait. Il stoppa sa marche, leva son bras et tenta de viser le mort-vivant. Mais son bras tremblait tellement, qu'en appuyant sur la gâchette il aurait pu tout aussi bien se tirer une balle dans le pied. Finalement, il reprit sa route, en accélérant et en zigzaguant entre les voitures qui obstruaient le passage.

- Ok mec, on y va. Mais on se grouille, faut plus qu'on traîne, hein !

La visibilité était satisfaisante et Kévin en profitait pour anticiper des attaques potentielles en s'éloignant des portes ouvertes ou en jetant un coup d'œil rapide dans les voitures.

- Je suis d'accord, on se magne.

Vous commencez à accélérer et vous arrivez au niveau des 4 voitures (en bordure de ligne de vue sur la carte).
Là, Barry se stoppe et te montre la voiture solitaire garée coté nord.
Deux zombies sont debout, immobiles, juste à coté.
Il ne vous ont pas repéré.

Et l'autre zombie a abandonné la poursuite.

La traversée de la rue eut lieu sans encombres... dans un premier temps. Kévin progressait à pas de loup, tournant la tête de tous côtés. Il n'avait jamais été autant concentré et ses yeux écarquillés cherchaient à localiser toute trace de danger. Ainsi, lorsque Barry lui montra le duo de morts-vivants, Kévin l'avait déjà vu. Il stoppa sa marche à son tour et s'accroupit derrière l'une des voitures du groupe de quatre.

Le jeune homme attendit un moment, observant les deux cadavres sur pattes. Il ignorait tout de leurs comportements mais il voulait tenter quelque chose. Il regarda le sol cherchant visiblement quelque chose. Sa main agrippa une canette vide et déformée qui traînait dans le caniveau.

- Prépare toi.

Kévin se décala légèrement et lança la canette de toutes ses forces en direction des zombies. Il espérait que la canette tomberait derrière eux et attirerait leur attention, permettant aux deux hommes de se cacher derrière l'une des voitures garée le long du trottoir opposé.

A présent, Barry est sûr d'une chose: Laisser une arme à feu à Kévin est une mauvaise idée, s'il tire aussi bien qu'il vise.
La canette vient percuter la voiture, qui se met à émettre une alarme stridente.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Du coup, les deux zombies vous topent DIRECT. Et s'avancent vers vous.
Et l'autre zombie qui avait abandonné la chasse réapparait coté ouest de la rue.
Et ça bouge un peu coté est.

- Oups... héhé.

Kévin leva les mains, paume vers le ciel et pencha légèrement la tête, un petit sourire en coin. Il était sincèrement désolé. Sa maladresse l'avait trahi et la canette avait heurté une bagnole qui n'avait rien trouvé de mieux que de se mettre à hurler.

- Raaah putain, mais ta d'jeuleeeeuh !!!!!!!!

Le jeune homme, oubliant temporairement tout danger, se leva et fracassa allègrement le capot de la voiture à coup de barre de fer. Le pistolet, lui, était resté au sol.
Évidemment, tout cela ne pouvait pas empêcher les zombies d'approcher tranquillement. Et la sirène avait dû attirer tous les copains du quartier. Chiotte.

Kévin arrêta de se défouler, se rendant peut-être compte de l'absurdité de sa réaction, et jeta un coup d’œil périphérique. Son but était clair : se barrer de ce merdier qu'il avait en partie créé. Son cerveau tenta d'analyser les différents paramètres (distances, positions et vitesse des morts-vivants, vitesse à lui) pour tenter de fuir vers l'Est. Il chercha également une porte d'un côté ou l'autre de la rue pour pouvoir se mettre à l'abri. Pauvre naïf.

Pendant toute cette réflexion intense, il fit totalement abstraction de la présence de Barry.

Deux zombies apparaissent coté Est.

Barry sort son arme et ouvre le feu sur les deux plus proches.
Il colle un pruneau dans la tête de celui de droite et en colle deux dans le torse de l'autre.
Les deux tombent à terre, mourant.
Toi, tu peux voir que tous les commerces de la rue ont descendu un rideau de fer, mais il y a deux portes entrouvertes; une à coté des trois voitures, et une de l'autre de la rue, derrière la voiture seule.

- Tin, j'ai bientôt plus de munitions... On rencontre trop de monde.

Derrière les deux zombies Est, tu peux voir que l'alarme a appelé quelque chose de plus... un chien.

L'escalade de l'horreur... Les ennemis débarquaient de tous côtés et Kévin sentit la panique qui le pénétrait à nouveau. Si les bipèdes approchaient à pas hésitants et peu véloces, un nouvel invité plus rapide fit son apparition. Un chien monstrueusement difforme arrivait à toutes pattes en direction du duo.

Le jeune people ramassa immédiatement le flingue qu'on lui avait confié et tenta de viser le clébard. Il appuya à répétition sur la gâchette jusqu'à épuisement des munitions.

- Raaaaah ! Crève ! Saloperie de caniche de ta mère la chieeeenne !

Il fallait croire que les connaissances du jeune homme était limitée aussi dans le domaine canin. Après avoir tenté de mitrailler le pauvre animal avide de chair fraîche, le jeune homme contourna rapidement la voiture pour atteindre la porte Nord.

- Vas-y, bouge ton cul !

Cette fois-ci, il pensa à Barry. Si celui-ci n'avait pas reçu une balle perdue...

Spoiler:

Kévin s'est saisi de son arme et mitrailla en direction du chien zombie.
Aucune des balles ne toucha le chien, se logeant pour la plupart dans les voitures alentours de Kévin (et une partant en l'air et brisant le lampadaire allumé).
La rue tombe dans un noir, sinon complet, au moins bien gênant.
Tu as pu atteindre la porte nord.

Barry de son coté, pensant que tu t'occuperais du chien, visa les zombies derrière.
Il en tua un des deux et loupa le second de peu, avant de se bouger un peu et d'enfoncer la porte Sud pour se réfugier à l'intérieur.

Saloperie de cabot et saloperie de flingue... Kévin, encore une fois, en tentant de prendre une initiative, rendit sa situation encore plus problématique. Barry était de l'autre côté de la rue et le chien sanglant avait finalement décidé de se diriger vers lui. Du coup, le jeune homme eut quelques secondes de réflexion. Mais elles furent bien inutiles... Voyant qu'il n'avait plus aucun moyen de rejoindre son acolyte ou de s'échapper par la rue, Kévin décida à son tour d'entrer dans le bâtiment. Il glissa le pistolet dans sa ceinture et franchit le seuil de la porte. Toujours armé de la barre de fer, il jeta un coup d’œil rapide dans la pénombre pour tenter de repérer un danger potentiellement proche avant de claquer la porte et de chercher un moyen de la verrouiller.

Pas de danger immédiat dans la maison, tu la fermes et tu l'entends claquer.
Le meuble d'entrée un peu renversé à coté de toi fera sans doute une bonne barricade.

Mais en fermant la porte, tu t'es empreint dans le noir.
De tête, tu te rappelles qu'il y a une salle à gauche, une cuisine à droite et un escalier en face de toi, avec une porte en dessous.

Un sentiment profond de sécurité qui s'efface rapidement...

- Ouf...

Kévin se rendit compte très vite qu'il était pris au piège. Certes, les zombies dans la rue ne pouvait a priori pas les atteindre, mais il s'était enfermé dans un bâtiment inconnu qui devait probablement des dangers aussi importants. Sans aucune issue. Et en plus, comme le gros boulet qu'il était, il se retrouva totalement dans le noir.

- Et merde.

Puis, pendant quelques secondes, le jeune homme fit le silence total, histoire de repérer un potentiel ennemi. De sa main libre, il chercha à tâtons un interrupteur sur les murs de l'entrée. Enfin, qu'il trouvât de la lumière ou pas, il se dirigea vers la porte en face de lui et essaya de l'ouvrir.

La lumière s'allume, illuminant l'entrée et révélant ce que tu avais pu voir auparavant (bref, le plan, quoi)

Tu t'avances vers la porte et tu l'ouvres.
Elle dévoile un escalier qui descend. Un vent d'air froid et chargé d'odeurs peu recommandables monte vers toi.