État-Civil :
NOM :Prédeaux
PRÉNOM :François
AGE :42 ans
DATE DE NAISSANCE : 14 Juin 1972
SEXE :Masculin
NATIONALITÉ : Français
PERMIS : Auto, formation pour se servir d’une grue
SIGNES PARTICULIERS : Il lui manque le petit doigt de la main gauche, accident de boulot.
Profession et loisirs :
PROFESSION EXERCÉE : Travailleur de la construction, formé en tant que charpentier et grutier.
APTITUDES PROFESSIONNELLES : Utilisation d’outils de chantier, réparation sommaire et formation basique de premier soins
LOISIRS : Rénovations diverses, sur sa maison ou chez les voisins. Cuisine et sports, en particulier le football américains et le foot classique.
RAPPORT AUX ARMES A FEU : Il est allé 2-3 fois à la chasse avec son oncle lorsqu’il était gosse, mais ne s’est jamais servi d’une arme. Ses expériences se limitent à ce qu’il a vu de ses yeux.
Portrait :
DESCRIPTION PHYSIQUE :
Frank Prédeaux, ça a toujours été un colosse. Lorsqu’il était jeune, il a toujours été l’un des adolescents les plus large (ceux qu’on laisse tranquille, tiens.) Pas plus grand que la moyenne, 183 centimètres, il fait un bon 102 kilogrammes de muscles bien trempés. Bah, si on oublie un peu le manque d’exercice autour de l’estomac de cet amateur de bonne nourriture et bières, on peut dire qu’il est bien musclé, très, même.
Il a les cheveux châtains, tirant plus en plus vers le blanc, qu’il rase très courts pour camoufler sa calvitie naissante. Il a des yeux bleus foncés. Depuis son divorce, il conserve une barbe de quelque jours, qui lui donne un certain air d’expérience et d’expertise auprès de ses collègues plus jeunes.
DESCRIPTION VESTIMENTAIRE :
Frank, c’est pas un amateur de la mode. Il a toujours tenté de récupérer ses vêtements le plus longtemps possibles, et c’est souvent avec des t-shirts tachés de peinture ou des jeans de travail troués aux genoux qu’il passe son quotidien. Il conserve encore quelques polos et chemises propres, du temps où sa femme s’occupait de sa garde-robe.
Au moment de l’infection, il portait des bottes solides de travail, renforcées d’acier. Il porte aussi des jeans bleus, usagés, et un t-shirt blanc taché de peinture grise, attestant de son aide bénévole à la compétition de baseball d’une école primaire de Larochelle en 1998. Par-dessus, il porte un manteau léger brun.
DESCRIPTION MENTALE :
Frank, c'est le type honnête qui bosse dure pour payer son pain. Il exècre la paresse de certains de ses congénères. On dit de lui qu'il est plutôt passiant, mais faut pas le chercher, hein. Prompt à cogner pour faire pour défendre un pote, il encourage l'entraide et aime qu'on se sert les coudes. La lenteur de réflexion, c'est pas lui. Il est rapide à agir, selon son instinct. Il sait faire preuve de sagesse, parfois, et on reste souvent surpris de voir que Frank a du génie. C'est pas une brute épaisse, loin de là.
Il est très professionnel, s'énerve si on bâcle le boulot. Les seuls moments où il s'adonne à un laisser-aller sont les soirées de match diffusés à la télé du Bistro du coin, et que son équipe perde ou pas, on le retrouve souvent titubant à la sortie des bars. Y'a 3 choses qu'il peut pas sentir: les avocats, les chiens, et les mioches. Son ex-femme étant une avocate, il est resté marqué par ce milieu qu'il trouve malhonnête. Les chiens, ça jappe, ça grogne, ça chie partout. Pis les mioches, ça jappe, ça grogne et chie tout autant. Il se sent bien quand il a rien de tout ça dans ses pattes, donc. Il devient impatient quand il n'a pas consommé son café et sa clope matinale, et faut donc pas lui causer.
Néanmoins, il est toujours disponible pour donner un coup de main. C'est l'homme aux milles outils, que les voisins apprécient de par sa bonne humeur et ses compétences de bricoleur. On ne peut pas dire qu'il soit pieu, mais malgré lui, il ne peux s'empêcher de songer qu'il y a quelque part un monde meilleur parmi les nuages.
BIOGRAPHIE :
Frank est né en Corse. Son père était boucher, et sa mère restait au foyer pour s'occuper des 4 gosses. Ayant grandi avec 3 frères plus vieux, il a vite appris à mettre la main à la pâte pour suivre l'exemple de ses ainés. C'était un élève difficile, toujours trop énergique pour rester bien longtemps attentif à l'école. À l'époque, on disait qu'il avait le potentiel de faire des études sérieuses, mais c'est peut-être son inattention et les réprimandes de ses enseignants qui l'ont rapidement lassés des cours. Il étudia pour travailler sur un chantier.
Lors de la mort de ses parents, accident de voilier, une guerre familiale pour une question d'héritage sépara durement les 4 frères Prédeaux. Le plus jeune, Frank, décida alors de quitter la Corse et s'installa plutôt au Nord, à Larochelle, où il rencontre 2 années plus tard celle qui allait devenir sa femme. Il bossa pour un contremaître un peu impotant, et un accident tout bête lui coûta un doigt. Après un mariage peut-être trop rapide, qui dura pendant 4 ans, sa femme, une avocate, le traîna carrément dans la boue et lui pompa pratiquement tous ses avoirs matériels. Cet épisode le laissa fort amère vis à vis des avocats et du mariage.
Il s'exila à Paris, où il vit présentement. Après des années de misère grave, il finit par se dégoter un boulot stable de par ses excellentes références. Cela fait maintenant 13 ans qu'il travaille pour la même compagnie, et possède une belle petite maison. Il est bien décidé à rester à Paris, s'étant fait des potes, et surtout, se disant que la grande ville est parfaite pour qu'il passe incognito aux yeux du monde. Frank, c'est personne. Juste un type qui bosse pour payer son pain et gagner son ciel.
A PROPOS DES RÉCENTS ÉVÈNEMENTS :
Frank se trouvait en banlieue de Paris quand les premiers cas se faisaient découvrir. Ayant quitté le chantier d'un pont en réparation, il ne serait peut-être jamais passé les barrages de police s'il n'avait pas pensé à ce putain de film qu'il devait rendre au club vidéo dans la journée. Le fait est qu'il s'est retrouvé en pleine ville, dans le gros trafic, dans l'impossibilité de sortir car la route qu'il voulait emprunter pou retourner au chantier était désormais bloquée. Frustré, il s'était pris un livre et entreprit de tuer le temps en attendant que le bordel se tasse. Quand un premier cas, puis un autre, puis un autre, commencèrent à s'attaquer aux gens pris dans l'embouteillage, il se retrouva coincé dans sa camionnette, pestant. Sur le coup, il ne comprenait rien.
Quand il commença à voir les premiers résidents se faire charcuter, il compris qu'il devait foutre le camps. Les gens abandonnaient leur voitures, et il voyait déjà un incendie un peu plus loin. Il défonça son pare-brise de ses lourdes bottes, et quitta les lieux en quête d'un policier qui pourrait l'aider à mieux se retrouver. Mais le bordel était déjà pris dans la zone, et il décida qu'il allait rentrer chez lui pour se reposer en attendant que ça se tasse. Rue Veron, près de la Place des Abesses, étaient loin d'où il se trouvait. La marche dura plusieurs jours, et il finit, à force de voir des choses, à comprendre ce qui se passait.
Il avait vu des films de zombies, bien sûr. Il avait vu quelques zeds d'assez près pour faire le rapprochement. Sceptique quand à l'état de ''cadavre'' des monstres ambulants, il savait uen chose: c'était arrêtable que quand c'était en bouillie, ces trucs. Sans nourriture, sans clope, sans arme (il avait bien une raquette, mais il l'avait paumé dans le crâne d'un policier obèse mort-vivant) et avec pour but de rejoindre sa petite barraque sur Veron. Il avait rencontré un survivant qui lui avait parlé de la résistence à la Place du Tertre, et songea qu'il serait bon d'y jetter un oeil avant.
ADDICTIONS : Chainsmoker, il fume clope par dessus clope. Il tient à prendre son café le matin, sous peine de maux de crâne et mauvaise humeur.
Caractéristiques :
FORCE :7
ENDURANCE :5
AGILITÉ : 3
PRÉCISION :3
CHANCE :3
J'suis à 21 pts parce que j'avais un niveau de plus, c'ça?
Sujet: François Prédeaux 
Mer 17 Oct - 18:29